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19 avril 2010 1 19 /04 /avril /2010 21:30

     Voici un petit clin d'oeil à Alice aux pays des merveilles version monde de Sarko à la sauce Guignols de l'Info :

 

 

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17 avril 2010 6 17 /04 /avril /2010 13:52

     Pour celles et ceux qui auraient loupé le poisson d'avril 2010 de la section académique de Lyon du premier syndicat enseignant en France, le voici. Sur une page intitulée "En avril, l’éducation ne tient qu’à un fil !", le snes a publié une déclaration du ministre de l'Education Nationale dont voici le contenu :

 

     Communiqué de Luc Chatel, Ministre de l’Education Nationale


     Compte tenu des fortes mobilisations dans l’éducation nationale et du désaveu recueilli par la majorité
présidentielle lors des élections régionales, en accord avec le chef de l’état, il a été décidé ce qui suit :

 

  • La réforme des Lycées est reportée à une date ultérieure, la concertation avec les acteurs de l’éducation (les personnels, les parents …) étant impérative.

 

  • Tous les postes supprimés sont rétablis. Ce qui implique un recrutement massif de professeurs titulaires et donc un doublement, dans un premier temps, des places mises aux concours de recrutement.

 

  • La volonté du gouvernement d’une école ambitieuse pour la réussite de tous les élèves est réaffirmée. Ceci impose la suppression du socle commun et des livrets de compétences.

 

  • La formation des maîtres est la clé de voûte de tout dispositif réaliste. Les enseignants débutants doivent donc disposer d’une année de stage complète et l’idée de les nommer à plein temps devant élèves est abandonnée.

 

  • Pour lutter contre l’échec scolaire, j’ai décidé l’augmentation substantielle des moyens horaires donnés aux établissements, ceci pour permettre les dédoublements indispensables et le travail en groupes à effectifs réduits.

 

  • En ce qui concerne le remplacement, les élèves sont en droit d’attendre des remplaçants formés et titulaires. C’est dans ce cadre qu’il a été décidé une augmentation significative du nombre de titulaires remplaçants, ainsi qu’un plan de titularisation pour les enseignants vacataires et contractuels.


     Les personnels de l’Education Nationale ont contribué et continuent à contribuer à la qualité du service public. Il est donc indispensable, pour compenser les pertes de pouvoir d’achat subies depuis plus de 20 ans, d’augmenter d’au moins 20% leurs rémunérations.


Luc Chatel, Ministre de l’Education Nationale,
Porte-parole du Gouvernement

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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 13:49

     Je viens vous faire partager ce petit moment de bonheur que m'a fait partager une collègue et amie il y a quelques semaines... Cela fait écho à quelques anciens billets de mon blog à propos des élèves et de l'IUFM.


     En voyant la foule de gens, Jésus alla sur la montagne. Et lorsqu’il fut assis, les douze apôtres vinrent à lui. Il leva les yeux sur ses disciples et dit : « Bienheureux les pauvres en esprit car le royaume des cieux leur appartient. Bienheureux ceux qui souffrent car ils seront consolés. Bienheureux les doux car ils... posséderont la terre... » Quand Jésus eut terminé, Simon Pierre dit : « Il fallait écrire ? ».  Puis André demanda : « Est-ce qu’on doit apprendre tout ça ? ». Philippe ajouta : « Par cœur !!! ». Jean dit : « J’ai pas de feuille » et Jacques ajouta : « Moi, je n'ai plus d'encre dans mon stylo ! ». Inquiet, Barthélemy demanda : « Il y aura interro ? ». Et Marc dit : « Comment ça s'écrit "bienheureux" ? ». Mathieu se leva et quitta la montagne sans attendre et en disant : « Je peux aller aux toilettes ? ». Simon interrogea : « Quand est-ce qu’on mange ? » Et Judas dit enfin : « Vous avez dit quoi après pauvres... ? »

     Alors un grand prêtre du temple s’approcha de Jésus et dit : « Quelle était ta problématique de départ ? Quels étaient tes objectifs transversaux ? A quelle compétence faisais-tu appel ? Pourquoi ne pas avoir mis les apôtres en activité de groupe ? Pourquoi cette pédagogie frontale était-elle la plus appropriée ? »
Alors Jésus s’assit et pleura.

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18 décembre 2009 5 18 /12 /décembre /2009 17:35
     Il m'arrive fréquemment, surtout si les élèves sont plutôt sympathiques et attentifs, de faire quelques traits d'humour sur les sujets de devoirs à la maison (plus couramment appelésDM). C'est ainsi, par exemple, que sur le sujet d'un DM à rendre pour le vendredi 13, j'ai écrit : "Les personnes souffrant de triskaïdékaphobie ou de paraskévidékatriaphobie ont bien entendu la possibilité de me rendre le devoir le jeudi 12". Personne ne me l'a rendu le 12 ! Pas de supersticieux dans cette classe apparemment.

     Récemment, sur le sujet d'un devoir à rendre le 09 décembre, j'ai écrit : "Le 9 décembre a été décrétées par les Nations Unies journée mondiale contre la corruption... Donc pas de billets dans les copies ! Merci !" Certaines élèves m'ont pris au mot et ont glissé ceci dans leur copies :

 

123 2392
123 2395

     Je vous rassure, ce ne sont que des photocopies recto uniquement (je leur ai tout de même signifié que la contrefaçon d'argent liquide était interdite).
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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 11:45
     Chaque année j'ai l'impression d'avoir des élèves de seconde de plus en plus bébés. Ce constat je le fais chaque année mais là je dois tout de même avouer que le degré d'immaturité bat des records ! Lors de ma première rentrée en lycée, en septembre 2005, je croyais vraiment que j'en avais terminé avec les gommes taillées en forme d'animaux ou les "m'sieur, comment je fais moi pour souligner en jaune ?" que j'avais pu découvrir pendant mon stage en collège. Malheureusement, ça continue encore et encore...

     Figurez-vous, par exemple, que les élèves de seconde ne savent pas utiliser un classeur. Pour ma part je n'ai pas souvenir d'avoir utiliser un quelconque cahier après ma troisième, mais les élèves d'aujourd'hui découvrent le classeur en seconde, voire plus tard. Du coup, quand on doit jongler entre trois ou quatre parties différentes, le classeur devient obligatoire et il faut les guider dans leur utilisation. Imaginez-vous en face de 33 charmantes têtes blondes, qui vous regardent dans le blanc des yeux sans bouger le petit doigt, et sans comprendre ce que vous dites, lorsque vous leur annoncez : "on a fini la correction des exercices, reprenons la partie cours". C'est exactement ce que je vis 4 fois par semaine avec eux. Au début c'est drôle, à la longue on ressent plus de la pitié.

     Pour les agendas, c'est la même chose. A part laisser des mots à la copine le jour de son propre anniversaire pour qu'elle n'oublie pas la date, ça n'a pas l'air de servir à grand chose. Quand ils essaient d'y écrire des devoirs, c'est la catastrophe : la date n'est pas la bonne ou il manque la moitié des exercices à faire. Parfois c'est même comique : cette semaine un élève n'avait pas fait ses exercices de maths, il m'a alors affirmé avec aplomb : "Ah non, il n'y avait pas d'exercice à faire pour aujourd'hui". Je lui ai alors répondu qu'il y en avait même deux et lui ai demandé de sortir son agenda, il y avait écrit : "Français - Ex. 20 et 23" c'étaient bien les bons exercices mais manque de bol on était en maths !

     Leur comportement est très puéril également, aussi bien en classe que dans les couloirs. Ils sont parfois aussi spontanés que des gosses de 3 ans qui découvrent le monde. Le premier chapitre a porté sur les fonctions cette année. Dans le chapitre on introduit la notion d'intervalle de nombre. Lorsqu'un jour j'ai commencé ma phrase par : "L'intervalle sur lequel la fonction est définie..." une élève ayant remarqué l'emploi du pronom masculin lequel s'est alors exclamé à voix haute : "Aaaah ! Mais alors ce sont des garçons ?" J'ai eu du mal à retenir mon fou-rire ce jour-là, j'ai du me mordre la lèvre très fort.

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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 20:42
     Aujourd'hui, un collègue nous a encore apporté la preuve que les élèves aiment négocier même jusque dans leur copie. Parfois un point supplémentaire sur la note de leur devoir, parfois le report du DS prévu le jour même (ça m'est encore arrivé la semaine dernière), peu importe, tout se marchande ! Vraiment tout ma brave dame. Là, il s'agit visiblement d'un élève qui souhaitait esquiver le devoir surveillé. Le prof a attendu le deuxième cours pour lui faire rattraper son devoir, et voilà ce qu'il a trouvé en guise de copie (j'ai volontairement laissé les fautes d'orthographe) :

     "Monsieur, du fait que je n'étaie pas en état d'effectuer le devoir à la séance dernière je comprends parfaitement que vous me fassiez rattraper le devoir aujourd'hui. Cependant vous ne m'avez pas prévenu alors qu'on s'est vu hier, que je devais rattraper le devoir. Ainsi je n'ai pas pu réviser pour ce dernier, je sais que vous êtes un homme bon et je souhaiterais faire appelle à votre générosité si vous me laisseriez une chance. Merci d'avance. Salutations distinguées."

     Le professeur de l'élève ayant beaucoup d'humour, il a affiché une photocopie du devoir de l'élève en salle des profs (je le remercie chaleureusement de ce grand moment d'hilarité) et il y avait inscrit la note de 0/20 accompagné du commentaire suivant : "Avec mes salutations distinguées." Mais au-delà de cette anecdote, je me demande ce qui est le plus comique. Est-ce l'élève qui essaie de négocier ou certaines enseignants, heureusement très rares, qui, bouche bée devant la copie de l'élève épinglée au mur de la salle des profs, trouvent le traitement de l'incident et la note de l'élève "choquants" !
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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 22:41
     Je ne sais pas si c'est à cause de la fausse blonde nympho folle furieuse avec qui j'ai eu des maux l'an passé, et qui ferait du vaudou sur ma petite personne insignifiante au lieu de préparer son concours de l'agreg interne, mais quoiqu'il en soit l'année a commencé pour moi sous le signe de la guigne. J'espère que ça va bientôt se calmer parce que l'année démarre plutôt fort.

     Le jour de la pré-rentrée, mes collègues de seconde me harcèlent pour que je leur photocopie la liste des élèves de la classe dont je suis le prof principal. Je laisse un peu traîner et au dernier moment je me décide à faire ces fameuses photocopies. Je me précipite sur la photocopieuse, je tape mon code, et là, Biiip, mon code ne marche pas. Après deux mois de sommeil, je me dit que ma mémoire est un peu défaillante, je recommence, Biiip, toujours rien. Mon code ne marche définitivement plus... Mes collègues rient. Pas moi, sans photocopie, le prof meurt. Il m'a fallu 48h, 10 à 20 photocopies empruntées par ci par là avant d'arriver à trouver le responsable des photocopieuses pour finalement m'entendre dire que mon code avait été supprimé. Quelle charmante attention ! On m'en a donc redonné un autre, heureusement bien plus facile à retenir !

     Après l'épreuve de la photocopieuse, c'est le tour des papiers ! A la rentrée, le prof principal se transforme en véritable assassin de forêts : il distribue les carnets de correspondance, collecte les attestations d'assurance scolaire et les certificats de scolarité de la CAF, les coupons réponses pour la réunion d'accueil des parents avec les profs. La grippe A passant par là il a aussi fallu distribuer une brochure pour sensibiliser les familles aux dangers de la grippe A (il n'y en avait pas pour tout le monde !!!). Seulement voilà, dans le flot de toute cette paperasse, il arrive de se perdre. Et lundi, coup de stress, l'enveloppe des fiches CAF disparaît. Je fouille, fouille et refouille la salle des profs, mon casier, mon cartable, demande aux collègues assis à côté de moi au moment où je les ai manipulés de vide leur cartable. Rien, le mystère total. Après enquête il s'avère que c'est un élève qui me les a embarquées par erreur : je lui ai montré les fiches CAF pour lui faire voir à quoi ça ressemblait. Il a alors cru que je lui tendais l'enveloppe, et pendant que je répondais à une question il a innocemment embarqué l'enveloppe complète avec toutes les fiches dedans. Plus de peur que de mal, mais j'ai bien stressé.

     En pleine recherche des fiches CAF, le lendemain de la disparition, je me pointe en salle des profs, je tente d'ouvrir mon casier... Et là, les 50% de la clé restent coincés dans la serrure, les 50 autres % dans ma main... Le casier étant fermé à clés... avec mon ordi portable à l'intérieur (je l'y avais mis 5 min plus tôt)... Désespoir ! Mais heureusement très bref : mon ongle me permet désormais d'ouvrir mon casier !!! C'est assez technique mais ça marche très bien. J'attends la clé avec impatience tout de même.

     Après toutes ces aventures, je tente d'aller récupérer mes photocopies à la reprographie (deuxième moyen de faire des photocopies mais un plus long que la photocopieuse bouffeuse de codes). Je regarde fièrement ma feuille d'exercices pour les Terminales S, m'auto-complimente sur la mise en page plutôt habile, jusqu'à ce que je m'aperçoive que j'ai oublié de tracer la courbe sur le graphique d'un exercice. Mauvaise semaine.

     Je passe sur les lapins posés par les parents pour la réunion parents-profs. Mais je suis déjà fatigué seulement une semaine après la reprise. Ca promet...
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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 22:08
     Cette semaine j'ai eu un peu l'impression de vivre en réalité cette fameuse blague où un prof de maths explique à une blonde comment calculer une limite. Il ne s'agissait pas de limites mais de puissances avec des Terminales S... Une élève avait beaucoup de mal à comprendre pourquoi 10n+1/10n = 10. J'ai donc rappelé les règles (élémentaires) de simplifications de puissances, et écrit au tableau que 10n+1 = 10nx10. L'élève a alors manifesté un certain contentement pour signifier qu'elle avait compris.

     Quelques jours plus tard, Un exercice similaire exigeait de simplifier 2n+1/2n. L'élève en question m'a alors écrit que :

     "2n+1/2n=10".

     Ne comprenant pas l'erreur, j'ai alors demandé à l'élève de m'expliquer davantage. C'est alors qu'elle me dit :

    "Oui la semaine dernière vous avez dit que quand on avait une puissance (n+1) ça revenait à multiplier par 10 la puissance n, donc 2n+1 = 2nx10".

     C'est ça la puissance des mots ?
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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 21:56
    Cette année c'est du sérieux, je surveille les épreuves du BAC général série ES. C'est moins la glandouille qu'avec les STG, les candidats n'arrivent pas en retard et je n'ai observé aucun échange entre les candidats, seulement un ou deux regards inquiets en début d'épreuve. J'ai tout de même pu observer quelques perles sur les en-têtes. J'ai eu droit au désormais classique "Examen" dans la case "Examen ou concours". Une collègue m'a raconté avoir lu sur une copie "BAC à lauréat" dans la même case, on n'est pas passé loin du BAC à shampooing là ! Il a aussi fallu que j'explique trois fois de suite à un candidat comment remplir l'en-tête correctement. Il ne comprenait pas pourquoi l'examen qu'il passait n'était pas la "Philosophie".

     Quand je dis que ce n'était pas la glandouille, ce n'est pas tout à fait vrai. Un candidat est venu habillé en short de plage et en tongs (ça m'a fait penser à un élève que j'ai récemment vexé car il était venu comme ça en cours et je l'avais alors qualifié de touriste) ! Ce futur bachelier n'a pas disserté bien longtemps, il s'est endormi probablement avant la fin de la lecture du sujet. Je n'ai pas osé le réveiller, ce n'est pas dans ma philosophie de perturber le sommeil de quelqu'un. Une prof d'EPS de passage, venue nous apporter une agrafeuse, a cependant reconnu un de ses élèves, elle a alors donné un léger coup sur la tête du candidat avec une brochure qu'elle tenait dans les mains. Il s'est réveillé et s'est remis à composer.

     Une autre candidate, au décolleté plongeant, me lançait des regards profonds de temps à autres, tout en faisant tourbillonner sa longue chevelure blonde. Elle a d'ailleurs balayé le visage de son voisin de derrière une ou deux fois. Au début je me disais qu'elle était gonflée tout de même mais que de toute façon c'était un mauvais calcul car ce n'était pas moi qui corrigerais les copies de philosophie. J'ai par la suite découvert qu'en réalité elle n'était pas intéressée par ce genre de chose. Lorsqu'il a fallu l'accompagner au toilettes elle m'a demandé en douce un tube de blanc correcteur. Il a donc fallu lui expliquer rapidement que je ne pouvais pas avantager un candidat par rapport à un autre. Quelle intégrité, n'est-ce pas ?

     Voilà, c'est à peu près tout pour cette première demi-journée, lundi je surveille toute la journée, on verra ce que ça donne. Je vous tiens au courant.
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 23:29
     Les élèves ont tendance à croire que les profs ne communiquent pas entre eux. Selon eux on ne parlerait que de maths, d'histoire-géo ou de philo à longueur de journée. Seulement voilà, on discute d'autre chose en salle des profs. Certains profs sont même devenus de vrais experts en ragots. Mais ce n'est pas le sujet ici. Les élèves ne se rendent pas compte que l'on discute aussi de leur frimousse.

    Un collègue me parle donc d'une élève qui exaspère pas mal de profs de l'équipe pédagogique de la classe de 2de. On parle donc de ses absences, de ses retards, de son insolence insupportable, et au hasard de la conversation il me signale qu'il vient de la voir devant le lycée en train de fumer sa clope. Là je me dis, zut aujourd'hui elle est là et en plus elle va puer la clope !

    Dix minutes plus tard, le cours commence. L'élève en question est absente. Etange, me dis-je. Peut-être que la clope n'est pas finie. Mais voilà que mademoiselle débarque accompagnée de sa fidèle accolyte avec plus de 10 minutes de retard. Les deux élèves me brandissent fièrement leur carnet pour me montrer leur mot de retard sur lequel il est indiqué "Perturbation TCL". Ah ces Transports en Commun Lyonnais ! Tous des méchants ! Ils font grève tous les jours et leurs grèves empêchent même les élèves de montrer quelques marches d'escalier pour aller en cours de maths. Où va-t-on ma brave dame ?Ou  alors je n'ai pas compris ce que voulais dire TCL et cela singifie Terminer sa Clope Lentement.

     En croyant se payer ma tronche les deux élèves en question ont donc gagné une heure de retenue chacune avec un travail à faire. Recopier un texte sur l'histoire des statistiques ne leur fera pas de mal. La morale de l'histoire est que quand on prend son prof pour un con, il se peut qu'il le devienne vraiment !
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